La bombe humaine
Tu la tiens dans ta main
Tu as le détonateur
Juste a cote du coeur
© Téléphone (paroles de Jean-Louis Aubert)
Bombe désamorcée.
Explosion reportée/annulée.
un "handicapé émotionnel" entame une thérapie musicale,
çàd utiliser des extraits de chansons qui lui parlent
pour esquisser une ébauche d’extériorisation sentimentale
La bombe humaine
Tu la tiens dans ta main
Tu as le détonateur
Juste a cote du coeur
© Téléphone (paroles de Jean-Louis Aubert)
Bombe désamorcée.
Explosion reportée/annulée.
Bascule avec moi, bascule
Si tu as chaud en toi,
C'est l'amour qui te brûle
Si tu as chaud comme ça
Bascule
© Marc Lavoine
J’aimerais que nos rencontres intimes se dupliquent
Dans des rêves torrides je nous implique
Oh que dans le réel on les applique
Problème de conscience tu me répliques
Tu tergiverses à basculer, ça se complique
Sans autre solution qu’on ne m’explique
Je ne peux que me répéter cette supplique
« Quand est-ce que tu te rappliques ? »
Insomnia please release me,
And let me dream of making mad love to my girl on the heath,
Tearing off tights with my teeth.
I can't get no sleep...
© Faithless (paroles de Maxi Jazz)
Je me suis réveillé en plein nuit et impossible de me rendormir
Une pensée m’a obsédé pendant ma somnolence jusqu’au matin
Je n’ai cessé de fantasmer sur l’image de ton corps appétissant à côté de moi
Quand pourrais-je jouir d’une nouvelle nuit avec toi ?
Tombe la neige
Tu ne viendras pas ce soir
Tombe la neige
Tout est blanc de désespoir
Tu ne viendras pas ce soir
Me crie mon désespoir
Mais tombe la neige
Impassible manège
© Salvatore Adamo
La neige c’est fameux pour les plaisirs d’hiver
La neige c’est fâcheux pour les plaisirs divers
Elle m’a régalé avec une unique nuit d’ivresse
Elle m’a recalé pour d’autres nuits de tire-fesses
C'est ma douleur que je cultive
En frappant ces huit lettres-là
Elaeudanla Teïtéïa
© Serge Gainsbourg
Journée anniversaire de la disparition de Serge Gainsbourg
Lui qui savait si bien parler aux femmes
Je copie son texte de maladie d’amour
En changeant les lettres mais pas la trame
C'est ma douleur que je cultive
En frappant ces huit lettres-là
Cé-hache-erre-hi-esse-té-heu-elle
J'ai beau savoir
Ne plus y croire
Je ne veux qu'elle
Je ne veux qu'elle
© Marc Lavoine
« J’ai beau savoir » c’est l’expression qui me colle au cœur
Je ne peux m’empêcher de penser, d’espérer, de rêver
J’ai une belle à revoir
Je la veux telle quelle
No I can't forget tomorrow
When I think of all my sorrow
When I had you there
But then I let you go
And now it's only fair
That I should let you know
What you should know
I can't live
If living is without you
I can't live
I can't give anymore
© Mariah Carey (paroles de Pete Ham & Tom Evans)
“I let you go”, c’est mon fardeau
Vivre sans toi, c’est pas la joie
Je te donne mes notes, je te donne mes mots
Quand ta voix les emporte a ton propre tempo
Une épaule fragile et solide a la fois
Ce que j'imagine et ce que je crois.
© Jean-Jacques Goldman
Je te donne mes textes, écris à ton intention
Je te donne mes maux, ceux de l’indécision
Nos voix sont sur le même feeling
Mais nos voies n’ont pas suivi le même timing
Notre amour est solide par la profondeur de nos sentiments
Notre amour est fragile par la fureur des éléments
Ce que j’imagine est une image de volupté
Ce que je crois est la croix de la réalité
Tout au long de la vie qui pique,
On prend des beignes
À vouloir toucher les filles électriques,
Des sacrées châtaignes.
On retrouve, couché par terre,
L'effet uppercut.
Les filles, sans en avoir l'air,
Ça électrocute.
Tout au long d'la vie qui pique,
On veut s'évader
En touchant, pour le physique,
Les filles dénudées.
On s'retrouve alors par terre,
Triste et tout nu.
En amour, de toute manière,
On prend du jus.
Tout au long d'la vie, c'est sûr,
On s'abîme le cœur
À vouloir mettre la main sur
Les filles conducteur.
La mélancolie des passions
Nous chloroforme.
Faut refaire toute l'installation :
Rien n'est conforme.
Tout au long d'la vie qui serre,
On s'égratigne
Au mystère des filles de fer,
Sur toute la ligne.
Ou alors faut s'isoler,
Comme dans un linceul,
Et jouer d'sa guitare tout seul
Sous les tilleuls.
© Alain Souchon
J’ai touché la fille électrique mais j’étais trop précautionneux
J’ai mis du temps à me dénuder, alors arriva un court-circuit et j’ai pris du jus
J’ai rafistolé le disjoncteur, je suis passé en courant alternatif
Je me suis isolé protégé de barbelés, je suis devenu électron libre
Elle m’a reconnecté, nouvel électrochoc
J’ai remis les doigts dans la prise, j’ai débranché la sécurité
Problèmes avec mon compteur bi-horaire, je suis complètement déphasé
Qu’importe la facture, je consomme à plein régime
Après toi
Je ne pourrai plus vivre, non plus vivre
Qu'en souvenir de toi
Après toi
J'aurai les yeux humides
Les mains vides, le cœur sans joie
© Vicky Leandros (paroles de Klaus Munro et Yves Dessca)
Cela fait 19 mois que je ne vis plus bien.
Cela fait 82 semaines que ton souvenir me hante.
Cela fait 572 jours que mon cœur est en berne.
Je ne pensais pas que le « après toi » serait si long, si douloureux, si insurmontable…
Combien de temps ???